• Des nouvelles qui ne sont pas rassurantes mais nous allons faire avec, fini par emmener J-P aux urgences, mon docteur étant en vacances et le RDV du neurologue reporté a cause de la tempête, je décide de me rendre aux urgences car il se plaignait d'étourdissement, de maux d'estomac, mal a la tête et pleins de choses du style qu'il allait mourir, j'avais beau lui dire c'est le stress des crises d'angoisses, mais il se mettait à pleurer sous prétexte que je ne le croyais pas donc pour ne pas passer a côté de quelques choses de grave je me décide en route vers les urgences a 40 km de la maison mais pas grave au moins je saurai.

    Donc arrivé aux urgences on passe d'abord dans la salle d'attente ensuite un secrétaire nous fait les papier et on voit une infirmière, j'explique ce qui nous amène, contente elle prend la chose au sérieux, il a quand même perdu 10 kg en l'espace de 2 mois, elle nous explique que d'abord il va être vu par un médecin, et au vu des résultat voir un psychiatre. 

    donc une nouvelle salle d'attente, et on attend quand une personne vient le chercher il doit y aller seul je vois son regard perdu et la personne le rassure en lui disant on va parler un peu avec vous et on viendra rechercher votre épouse.

    j'ai jamais de montre a mon poignet donc je ne sais pas combien de temps c'est écoulé.

    On vient me chercher et là un petit interrogatoire pour expliquer ce qui m'a mener aux urgences j'avais tout noté sur un papier les symptômes, son traitement et la dernière maladie qu'il a eu.

    on se retrouve a nouveau seul dans un box, et la apparaît un interne docteur, a nouveau interrogatoire heureusement qu'il y avait ce papier que j'avais préparé de peur d'oublier un fait. il prend en photo son traitement bien que une photocopie de son ordonnance se trouve dans son dossier. après l'interrogatoire enfin un consultation, enfin palpations ici et là.

    puis nous voilà a nouveau seul dans le box quand apparait une infirmière pour une prise de sang. a nouveau seul dans le box et toujours avec ces angoisses.

    a nouveau une infirmière vient nous chercher, nous sommes installés dans une grande salle, avec des brancards et des personnes souffrant nous entendons des plaintes, nous on nous installe sur des fauteuils et on m'autorise a rester avec lui en attendant les résultats du laboratoires.

    l'attente est longue cela fait 6 heures qu'on est là je sais nous ne sommes pas les seules, mais quand on sait rien l'attente est dur, il y a du mouvement je vais demander de l'eau car mon mari a soif, on lui apporte un verre d'eau, mais a moi rien, des infirmières arrivent tous on le droit a une prise de tension J-P aussi on lui donne un cachet doliprane et un verre d'eau mais je reste sur ma soif, a un moment j'ai voulu aller au toilettes mais au vu de l'odeur et de la saleté des toilettes a vous donner envie de vomir j'ai demandé au personnel médical si il n'y avait pas un endroit plus propre oui on m'a indiqué un endroit très propre.

    bon on vient chercher a nouveau J-P et on me dit pareil qu'on va venir me chercher, ce qui fut fait un peu plus tard, et me voilà face à un psychiatre qui m'explique qu'au niveau médical il n'a rien ouf! mais qu'il a un syndrome dépressif avec des crises d'angoisse accompagné d'hypocondrie, on lui donne un traitement en attendant qu'on revoit notre médecin. Il pense que l'élément déclencheur de cette crise à été la lumbago sciatique qui la maintenu en douleur ces 2 derniers mois, il a du se sentir diminué.

    8 heure c'est écoulé nous avons soif et faim il est minuit et nous devons rentré a la maison 40 km plus loin, mangé, dormi et pendant 3 jours J-P allait bien et c'est reparti j'attend avec impatience le 17 pour voir le neurologue et le 20 pour voir le docteur.

    il a des moment bien et d'autres ou les angoisses reprennent je vais partager les photos d'avant hier ou il était bien.

    Bonjour à tous ceux qui me suivent et aux autres

    après avoir glissé un joli pas de danse.

    Bonjour à tous ceux qui me suivent et aux autres

    avec un sourire maintenant croisons les doigts.


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